DCIM de nouvelle génération : comment résout-il les problèmes rencontrés par les clients et crée-t-il des écosystèmes ouverts ?
Plusieurs grandes entreprises ont scruté le DCIM et les exigences des clients. Ils ont mis leurs équipes au défi de déterminer si DCIM est toujours viable dans le monde du cloud hybride moderne.
Arrivé à la conclusion qu’il existe une demande, mais que l’ensemble standard de solutions DCIM présente des obstacles importants. Pour être efficace, les experts pensent que le secteur a besoin d’une nouvelle stratégie et ont détecté trois problèmes clés et s’efforcent de les résoudre.
Difficile de commencer
Auparavant, le déploiement d’un outil DCIM nécessitait des semaines, voire des mois. Il est difficile de collecter de bonnes données sur ces installations, mais nous avons effectué une analyse plus approfondie sur un cas particulier : l’installation d’une technologie logicielle visant à aider un consommateur à rationaliser les moyens d’administrer son infrastructure a nécessité 67 jours. Cela nous rappelle les publicités emblématiques d’IBM des années 1980, comme celle-ci. L’annonce mettait en évidence la bibliothèque de matériels d’IBM pour apprendre à utiliser un ordinateur.
Voici une vidéo en anglais expliquant cet outil :
Pourriez-vous imaginer avoir besoin de référencer des classeurs de documents pour comprendre comment utiliser les smartphones à une époque où un consommateur sur quatre abandonnera un site Web s’il nécessite plus de 4 à 5 secondes pour se charger ?
Les nouvelles conceptions offrent aux clients beaucoup plus de flexibilité quant à la manière dont ils souhaitent utiliser le logiciel en tant qu’application, équipement, réseau virtuel…
Difficile à utiliser et à gérer
Le marché DCIM avait été poussé à développer des fonctionnalités extrêmement haut de gamme que seul un petit nombre de clients souhaitaient ou nécessitaient.
DCIM, selon nous, devrait parfaire les fondamentaux, comme bien identifier et maîtriser les ressources, à mesure que l’environnement informatique hybride émerge. De plus, le DCIM précédent n’aurait qu’une seule interface utilisateur à travers laquelle les utilisateurs accéderaient aux données. Cependant, les développeurs pensent désormais que les clients doivent pouvoir obtenir des informations critiques, quel que soit l’endroit où ils se trouvent ou même le gadget qu’ils utilisent.
Il y a trop d’informations
Les fournisseurs doivent concevoir les systèmes pour qu’ils soient plus conviviaux afin de minimiser la surcharge d’informations. Ainsi, lorsque les consommateurs utilisent une telle technologie pour gérer certains actifs des clients, elle est d’abord testée et de nombreux fournisseurs ont découvert que la quantité de flux de données était trop importante à gérer.
Un DCIM de nouvelle génération, à notre avis, a cinq caractéristiques. Tout d’abord, il doit être basé sur le cloud ; mais sans cloud, il ne doit pas y avoir d’analyse, et les entreprises ne peuvent pas prétendre utiliser l’IA et l’apprentissage automatique sans cela. Deuxièmement, pour utiliser l’IA et l’apprentissage automatique, les entreprises doivent d’abord collecter des données et les stocker dans un entrepôt de données. Troisièmement, il devrait également être mobile d’abord, avec des API ouvertes, afin qu’il puisse être intégré sans effort et que les consommateurs puissent accéder à n’importe quoi n’importe où.